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Stress des cadeaux de Noël, déprime hivernale, froid… Tout est bon en décembre pour filer le bourdon à tout le monde. Ceux qui accusent le coup ? Les étudiants, principalement, à qui l’on rajoute l’approche fatidique des examens, la charge de travail qui s’alourdit et la recherche de stage de fin d’étude parfois toujours inconcluante.
Déprime hivernale pour les étudiants : c’est quoi cette histoire ?
Avec le stress des examens de fin de semestre et autres rendus de groupe, mais aussi la charge de travail soudaine, les étudiants semblent ne plus s’y retrouver. Entre stress, fatigue, surmenage et parfois même dépression, le mois de décembre mène la vie dure aux étudiants.
Alors si pour certains ces symptômes sont plus une mauvaise excuse qu’autre chose pour ne pas faire son travail, c’est en fait tout autre chose. Il faut en réalité tirer la sonnette d’alarme : ça peut devenir grave si on ne fait rien à temps.
Dépression des étudiants : comment y remédier ?
La sérénité et le cocon familial étant bien loin, les étudiants se sentent souvent seuls et s’enferment sur eux-mêmes face à leurs problèmes, surtout en période d’examen. Alors, simple stress passager ou dépression profonde ?
Les signes qui ne trompent pas :
- Tendance à l’isolation
- Changement d’humeur fréquent
- Violence verbale ou physique
- Perte d’intérêt pour les choses du quotidien
- Déséquilibre alimentaire
- L’abus d’alcool ou autres drogues
- Troubles du sommeil ou insomnie
- Une tristesse qui semble infinie
Rassurez-vous, rien n’est perdu, bien au contraire. Bien que ce mal être soit courant dans les écoles et universités, des méthodes simples et pourtant bien efficaces existent pour mettre à mal ces mauvaises habitudes qui font du mal.
Une fois ces symptômes reconnus, le plus important reste l’entraide. Si se renfermer peut paraître comme la solution à tout, c’est en réalité tout le contraire. S’isoler reste la pire solution et aggravera la situation. Alors n’hésitez pas à demander de l’aide autour de vous, vos proches n’attendent que ça. Vos parents, vos frères et sœurs, vos amis sauront trouver les mots pour vous remonter le moral et retrouvez le sourire qui vous allait autrefois si bien.
Et pour les cours, pas de panique non plus. Ça arrive à tout le monde et on est tous passés par là. L’échec n’est pas une fatalité en soi. Mais le mieux étant de s’y prendre à l’avance et de s’organiser. Et pour ça, encore une fois, faites-vous aider par votre entourage. N’hésitez pas à solliciter vos professeurs ou vos aînés, ils sauront vous guider.
Quoi qu’il en soit, ce satané mois de décembre touchera à sa fin bien assez tôt. Et le mieux, c’est qu’il y a quand même Noël et sa farandole de cadeaux à la clé, non ?